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Jean-Paul Chagnollaud

Portrait de Jean-Paul Chagnollaud

Président de l’iReMMO
Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, directeur de la revue Confluences Méditerranée. Il est auteur de nombreux ouvrages et articles sur les relations internationales, la Méditerranée et le Moyen-Orient, dont notamment, Les frontières au Moyen-Orient (coécrit avec Sid-Ahmed Souiah, L’Harmattan, 2004), Quelques idées simples sur l’Orient compliqué (Ellipses, 2008), Atlas des Palestiniens : un peuple en quête d’un État (co-écrit avec Pierre Blanc et Sid-Ahmed Souiah, Autrement, 2014), L’invention tragique du Moyen-Orient (coécrit avec Pierre Blanc, Autrement, 2017), Israël-Palestine: la défaite du vainqueur (Actes Sud, 2017), Israël face à Israël (coécrit avec Pierre Blanc, Autrement, 2018) et Moyen-Orient, idées reçues sur une région fracturée (coécrit avec Pierre Blanc, Le Cavalier bleu, 2019), Proche-Orient, 7 ans de régression (2012-2019) (Coll. Bibliothèque de l’iReMMO, L’Harmattan, 2019), Le rendez-vous manqué des peuples. De l’échec des révolutions populaires aux dérives populistes (Autrement, 2022).

ÉDITO

ÉDITO

Israël-Palestine: pour un retour au politique

Si la première phase du cessez-le-feu initié à Gaza depuis le 19 janvier 2025 a tenu, les perspectives de mise en oeuvre de la seconde – devant permettre la libération de tous les otages restants en échange de celle de prisonniers palestiniens et le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza – semblent beaucoup plus incertaines. Comme l’est encore bien davantage l’issue de cette guerre et, plus fondamentalement, celle du conflit israélo-palestinien. Deux chemins sont possibles. L’un conduisant vers une guerre sans fin, l’autre ouvrant vers des perspectives de paix.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Kosovo : logique du pire ?

Robert Bistolfi, 25 janvier 2008
A la jonction de plusieurs conflits, le dossier du Kosovo est de nouveau au devant de la scène. L’échec politique de l’intervention internationale se lit dans l’absence de rapprochement entre Serbes et Kosovars albanophones. Le plan Ahtisaari qui est sur la table opère un renversement du schéma de sortie de crise initial, et son application serait lourde d’incertitudes. L’interférence des grandes puissances (positions opposées, étatsunienne et russe) joue sur les dynamiques politiques divergentes à Belgrade et Pristina, reflétées par les élections récentes ou en cours.

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Lettre d’information de l’iReMMO