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Repenser l’Algérie dans l’histoire

Repenser AlgérieAuteurs : Gilbert Meynier et Tahar Khalfoune

Cet essai est le produit d’une réflexion partagée par les deux auteurs, nourrie par des années de recherche et d’échanges entre un historien spécialiste de l’Algérie et un juriste dont les grilles d’analyse reposent aussi sur une expérience de terrain.
Cet ouvrage est composé :
• D’une étude qui se propose d’inclure synthétiquement l’histoire de l’Algérie dans le temps long via notamment sa phase coloniale. Si celle-ci est encore présente dans la mémoire collective des Algériens, celui-là les structure dans leur inconscient.
• D’un bilan de l’Algérie indépendante qui reste fortement marqué par son passé colonial, mais qui renvoie aussi à toute une structuration de la société et des pouvoirs – formes et pratiques – héritée de l’histoire antérieure et forgée également par la nouveauté des dernières décennies où s’enchevêtrent violence et désir d’ouverture. Reste à savoir si les réponses apportées aux problèmes de l’heure sont à la hauteur des enjeux…
• Des documents officiels indiquant que l’histoire commune franco-algérienne reste un enjeu politique majeur où la volonté des deux États est d’exercer un contrôle sur la recherche et l’écriture de l’histoire et de les instrumentaliser à des fins politiques.

Gilbert Meynier est historien de l’Algérie, ancien enseignant au lycée Pasteur à Oran et à l’université de Constantine ; professeur émérite de l’université de Nancy 2. Auteur de « Traces de temps long et épilogue colonial », revu par Tahar Khalfoune.

Tahar Khalfoune est juriste à l’association lyonnaise Forum refugiés, intervenant à l’IUT de l’université Lyon 2. Co-auteur, avec Gilbert Meynier, de « Les 50 ans de l’Algérie indépendante ».

Commander le livre sur le site de L’Harmattan

CONFLUENCES MÉDITERRANÉE

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CONTRIBUTIONS

CONTRIBUTIONS

Le conflit syrien: une tragédie humaine et juridique

Depuis le début de la révolution syrienne en mars 2011, le conflit n’a cessé de se transformer en un engrenage de violence, marqué par des attaques répétées contre la population civile. Alors que le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme estimait en 2022 que 300000 civils avaient péri, l’Observatoire syrien des droits de l’homme porte ce bilan à plus de 500000. Au-delà des chiffres, le conflit syrien a généré des millions de déplacés, et poussé autant de Syriens à s’exiler. La question du droit des victimes reste aujourd’hui un enjeu crucial pour une population qui réclame justice et reconnaissance de ses souffrances.

De Mohamed-Nour Hayed

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