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Il est presque impossible de faire la différence entre les cibles militaires et les cibles civiles

Intervention d’Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO

On est dans le début de cette offensive dont l’armée israélienne parle depuis maintenant plusieurs jours, on a vu qu’il y avait eu des pressions exercées par les Américains pour éviter cette offensive. Il y a une nouvelle stratégie. Les communications sont coupées avec la bande de Gaza. On peut craindre des exactions et être inquiets sur les conséquences de ces opérations terrestres. Il est presque impossible de faire la différence entre les cibles militaires et les cibles civiles. Internet est coupé, le téléphone aussi, la bande de Gaza vit sous blocus depuis plusieurs années, mais dans le contexte actuel c’est extrêmement compliqué de trouver un moyen de communiquer. L’armée israélienne a pris toutes les mesures pour empêcher que les informations passent.

Intervention d’Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO

ÉDITO

ÉDITO

La Turquie aux avant-postes à Charm el-Cheikh

Alors qu’en Turquie le cours de l’euro est en passe de franchir le seuil fatidique des 50 livres, que l’inflation est repartie à la hausse et que l’on se demande qui sera le prochain maire CHP arrêté, Recep Tayyip Erdoğan s’emploie à faire oublier une conjoncture intérieure plutôt sombre, en faisant feu de tout bois sur le plan international. Grande bénéficiaire de la chute du régime de Bachar al-Assad à la fin de l’année 2024, la Turquie a joué, en effet, en cet automne 2025, un rôle remarqué dans la conclusion de l’accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas à Gaza, en particulier lors du sommet de Charm el-Cheikh. Retour sur cette implication et ses perspectives…

Par Jean Marcou, professeur émérite à Sciences Po Grenoble-UGA

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Dictature un mal arabe ?

Paul Balta, 10 janvier 2012
« Paul Balla Michel Aflak, le Syrien orthodoxe qui a fondé le parti Baas – en français, « Résurrection » – en avril 1947 à Damas avec son compatriote sunnite Salah al-Din al-Bitar, a défini le socialisme arabe comme un mélange de socialisme – et non de marxisme, jugé matérialiste et athée – et de nationalisme panarabe. La devise du parti était ainsi « Wahdah, Hurriyah, Ishtirrakiyah », soit  » Unit é, Liberté, Socialisme » : à côté de l’ambition de créer un seul État arabe, ce premier parti Baas, anticolonialiste et anti-impérialiste, qui prônait la laïcité pour abolir les frontières confessionnelles divisant la nation arabe, se voulait clairement démocratique. »

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Lettre d’information de l’iReMMO