Analyses
« Israël : jamais deux sans trois », article de Dominique Vidal, membre de l’iReMMO
15 janvier 2020 Israël : Jamais deux sans trois Par Dominique Vidal C’est du jamais vu dans l’histoire de l’État d’Israël : pour la troisième fois en
« Liban : La frilosité dont fait preuve Paris est surprenante », tribune de l’iReMMO
Alors que le pays du Cèdre est secoué par une mobilisation populaire, il faut que la France saisisse ce moment pour accompagner les revendications des manifestants, explique un collectif de chercheurs et d’universitaires dans une tribune au « Monde ».
La Tunisie démocratique à l’épreuve des urnes
Huit ans après le renversement du régime autoritaire en place, la Tunisie vient de vivre une nouvelle étape de sa transition vers une démocratie mature. Les échéances électorales ouvertes par le premier tour de la présidentielle le 15 septembre suivi du deuxième tour le 13 octobre dernier (sans oublier les législatives du 6 octobre) ont montré un pays qui maitrise désormais parfaitement, dans le calme et la transparence, le processus électoral. Montrant encore une fois l’exemple, la Tunisie a su traverser cette nouvelle épreuve, sans violence dans les rues et dans le respect scrupuleux des règles constitutionnelles et des institutions du pays. La démocratie tunisienne en sort confortée : c’est là le premier enseignement de cette période délicate.
Israël : des élections à l’union nationale?
11 octobre 2019 « Benyamin Netanyahou n’a jamais été aussi près de perdre le pouvoir [1]. » Cette appréciation du commentateur Yossi Verter résume on ne peut mieux
Les acquis persistants des révolutions arabes
30 septembre 2019 Le monde arabe a connu, en 2011, une succession de révolutions et de soulèvements populaires. De Tunis au Caire, de Sanaa à
Les conditions du « rêve irakien »
En 2021, l’Irak en tant qu’État aura 100 ans ! Et pourtant, comme en 1921, il souffre encore de l’incapacité à intégrer ses Kurdes, ses sunnites, ses chiites, ses chrétiens et ses autres communautés dans une « irakicité inclusive ». Depuis la proclamation de la victoire sur l’organisation de l’État islamique à la fin de l’année 2017, est exposé sur le devant de la scène un discours sur la construction d’un « nationalisme irakien » qui pourrait engager le pays dans la fabrication d’une « nation » irakienne et qui prendrait l’« irakicité » comme son unique « référentiel », la « reconnaissance » des différentes communautés comme son « principe régulateur ». Les producteurs de ce discours se trouvent à la fois à l’échelle nationale (à commencer par le Premier ministre – chiite – Adel Abdel Mahdi et le président de la République – kurde – Barham Salih), régionale (l’Iran et la Turquie, notamment) et internationale (États-Unis, Europe…)