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La Droite Nationaliste en Israël – Intervention de Jean-Paul Chagnollaud, président de l’iReMMO

Dans le cadre de notre partenariat avec l’ Institut de recherches et d’études Méditerranée nous sommes avec le Pdt de l’IREMMO , Jean Paul Chagnollaud. 

Nous revenons alors sur la Droite Nationaliste en Israël avec notamment Naftali Bennett, nouveau Premier Ministre israélien. 

Il dirige le parti politique nationaliste Yamina après avoir été à la tête de la formation nationaliste et sioniste religieuse « Le Foyer juif ». Une certaine droite qui s’est frayée un chemin depuis plus de 40 ans après la défaite des Travaillistes en 1977.

La droite accède alors au pouvoir . Menahem Begin devient 1er Ministre et mène tout de suite une intense campagne de colonisation dans les territoires palestiniens .

ÉDITO

ÉDITO

Israël-Palestine: pour un retour au politique

Si la première phase du cessez-le-feu initié à Gaza depuis le 19 janvier 2025 a tenu, les perspectives de mise en oeuvre de la seconde – devant permettre la libération de tous les otages restants en échange de celle de prisonniers palestiniens et le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza – semblent beaucoup plus incertaines. Comme l’est encore bien davantage l’issue de cette guerre et, plus fondamentalement, celle du conflit israélo-palestinien. Deux chemins sont possibles. L’un conduisant vers une guerre sans fin, l’autre ouvrant vers des perspectives de paix.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

La Tunisie : effet domino ou effet repoussoir ?

Bichara Khader, 2 février 2011
Depuis quelques semaines, les immolations ou les tentatives d’immolation se multiplient dans le monde arabe, du Yémen dans la Péninsule arabique à l’Est à la Mauritanie à l’Ouest. On connaissait déjà le phénomène « kamikaze » par lequel quelqu’un se donne la mort en tuant. Mais l’immolation de protestation est un phénomène inédit dans les pays arabes. Dépourvu de toute signification « religieuse » ou  » sacrificielle », le geste se veut plutôt une prise de parole, un acte posé pour dire  » assez » ou pour dire  » non ». Il ne peut être dés lors apparenté à une forme de  » djihad » pour une quelconque « cause », ni, à fortiori, à un simple « suicide ».

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Lettre d’information de l’iReMMO