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La France et le monde : jeu de puissance et quête de sécurité – Intervention de Dominique Vidal, membre de l’iReMMO.

Dans le cadre des Webinaires et soirées du CAREP Paris, la cinquante quatrième rencontre avec Bertrand Badie et Dominique Vidal, modérée par Salam Kawakibi, a été organisée sous format hybride (présentiel et à distance) le mardi 28 septembre 2021 à 18h00 et portait sur le thème :

« La France et le monde : jeu de puissance et quête de sécurité »

La dernière tomaison de l’État du Monde, dirigée par Dominique Vidal et Bertrand Badie, s’interroge sur la politique de puissance de la France et ses résultats pour le moins contrariés.

Cette réflexion rejoint le thème du dernier ouvrage de Bertrand Badie, Les puissances mondialisées. Repenser la sécurité internationale (O.Jacob) qui montre que le grand enjeu international de demain consiste à savoir passer d’une sécurité nationale, pensée en termes de rapport de forces, à une sécurité globale, en prise avec les enjeux sociaux mondiaux.

avec Bertrand Badie et Dominique Vidal, modérée par Salam Kawakibi

ÉDITO

ÉDITO

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Le choc des élections en Grèce

Christophe Chiclet, 17 août 2012
Suite à la grave crise financière, puis économique et sociale, la Grèce vient de plonger dans une crise politique majeure. Le bipartisme qui réglait la vie politique grecque depuis l’indépendance de 1832 (Populistes-libéraux ; Royalistes-Vénizélistes ; Monarcho facistes-communistes ; Conservateurs-socialistes) a volé en éclat lors des législatives anticipées des 6 mai et 17 juin 2012. Le paysage politique a été totalement chamboulé. Les socialistes du PASOK ont pris une déculotté historique alors qu’ils gouvernaient le pays quasiment sans interruption depuis 1981. Les partis traditionnels qui soutenaient les plans d’austérité imposés par la « Troïka » (UE, Banque mondiale, FMI) ont été lourdement sanctionnés. Le PASOK est arrivé en troisième position le 6 mai avec 13,18% des voix, perdant 30,7% par rapport aux législatives de 2009, perdant donc 109 députés, n’en gardant que 41, revenant au niveau électoral qu’il avait aux élections d’octobre 1974, trois mois après la chute de la dictature des colonels.

 

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Lettre d’information de l’iReMMO