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L’avenir de l’Irak passe par les jeunes

Comment régler le problème des tensions internes ? Quelles sont les raisons de ce mouvement de contestation ? Comment l’Irak gère-t-il sa relation avec son voisin iranien ? Le retrait annoncé des Américains change-t-il la donne ? La France a-t-elle une politique vis-à-vis de ce pays ?

À toutes ces questions, dans une situation où le problème kurde se pose dans quatre pays (Turquie, Irak, Syrie et Iran) mais aussi les tensions entre Sunnites, Chiites et autres religions, Agnès Levallois a montré lors d’une conférence à la Médiathèque de Mâcon dans le cadre des soirées Agora que ce sont les jeunes Irakiens, dont les actions dépassent tous ces clivages, qui donnent un réel espoir à la possibilité de l’existence d’un Irak basé sur la citoyenneté afin que les milices actuellement très influentes disparaissent du paysage. « Les jeunes se veulent d’abord irakiens et non Sunnites ou Chiites » a-t-elle exposé.

ÉDITO

ÉDITO

Israël-Palestine: pour un retour au politique

Si la première phase du cessez-le-feu initié à Gaza depuis le 19 janvier 2025 a tenu, les perspectives de mise en oeuvre de la seconde – devant permettre la libération de tous les otages restants en échange de celle de prisonniers palestiniens et le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza – semblent beaucoup plus incertaines. Comme l’est encore bien davantage l’issue de cette guerre et, plus fondamentalement, celle du conflit israélo-palestinien. Deux chemins sont possibles. L’un conduisant vers une guerre sans fin, l’autre ouvrant vers des perspectives de paix.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Le développement, réel défi pour la Tunisie contemporaine.

Barah Mikaïl, 29 avril 2011
La tempête qui souffle sur l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient connaît une issue pour le moins incertaine. Cependant, une idée convenue consiste le plus souvent à voir dans la Tunisie le cas d’un pays à même de consacrer l’idée d’une transition exemplaire vers la démocratie. Le tribalisme et le communautarisme y sont en effet quasi-inexistants ; la notion et le concept d’unité nationale n’y posent aucun problème, l’indépendance du pays ayant été obtenue en 1956 au nom d’une nation qui existait réellement ; la nécessité de se consacrer à une ère post-Ben Ali qui fasse entièrement fi du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) et de ses affidés est quant à elle une idée partagée par l’ensemble de la population ou presque. A priori, peu d’entraves devraient donc se hisser sur la route qui va mener les Tunisiens à l’élection d’une Assemblée constituante le 24 juillet prochain.

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Lettre d’information de l’iReMMO