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Les pays du Golfe, partenaires malgré tout ? – Intervention d’Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO

Les pays du Golfe, partenaires particuliers mais incontournables ?
Tous les regards étaient tournés vers la visite officielle – et expresse – d’Emmanuel Macron dans le Golfe. Le point culminant de ces deux jours ? La rencontre avec le très controversé Mohammed ben Salmane, prince héritier saoudien. Au programme de cette rencontre en tête-à-tête, la vente par l’Hexagone de 80 avions Rafale, la situation au Liban et au Yémen ainsi que l’épineuse question des droits de l’homme. Si le président français défend cet entretien, cet événement politique questionne : il est désormais le premier dirigeant occidental à avoir rencontré MBS après le meurtre du journaliste dissident Jamal Khashoggi. Bien qu’ils bafouent les droits humains, les pays du Golfe restent-ils des partenaires incontournables de la France ?

ÉDITO

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Israël-Palestine: pour un retour au politique

Si la première phase du cessez-le-feu initié à Gaza depuis le 19 janvier 2025 a tenu, les perspectives de mise en oeuvre de la seconde – devant permettre la libération de tous les otages restants en échange de celle de prisonniers palestiniens et le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza – semblent beaucoup plus incertaines. Comme l’est encore bien davantage l’issue de cette guerre et, plus fondamentalement, celle du conflit israélo-palestinien. Deux chemins sont possibles. L’un conduisant vers une guerre sans fin, l’autre ouvrant vers des perspectives de paix.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Le « déclassement » de la Syrie sur le dossier Palestinien et la nouvelle ambition diplomatique jordanienne

Sébastien Laroze Barrit, 1er février 2012
Alors que la Ligue arabe a décidé d’interrompre la mission de ses observateurs en Syrie, la situation dans le pays reste dans l’impasse. Le 6 janvier 2012, Damas a été une nouvelle fois le théâtre d’un attentat imputé par le régime à l’opposition. Aussi, celui-ci a promis de punir d’une « main de fer » les auteurs de l’attaque. Face à ces derniers évènements, la « solution arabe » a fait l’objet d’un scepticisme de plus en plus affiché. Celui-ci était partagé non seulement par l’opposition, qui avait manifesté le 6 janvier pour « l’internationalisation » du conflit, mais aussi par la communauté internationale qui, à l’image d’Alain Juppé, avait jugé que la Ligue n’était pas « en mesure de faire son travail correctement » . 

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Lettre d’information de l’iReMMO