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Proche-Orient: deux poids deux mesures des médias français?

En France, le conflit israélo-palestinien a toujours déchaîné les passions.  Dérapages, débordements, amalgames, autocensure… de nombreux journalistes et chroniqueurs font fi des règles déontologiques pour nous asséner “leur vérité”. Et ceux qui osent dénoncer les bombardements de Tsahal sont vite suspectés et cloués au pilori.

Depuis le 7 octobre, jour de l’offensive du Hamas, la couverture médiatique des événements a été massive, et pas toujours… objective. Ainsi, BFM TV a consacré plus de 45 heures au sujet dans les premières 72 heures de la crise en invitant les éditorialistes de i24News à commenter la situation en plateau, entre deux interventions d’officiels israéliens. Il est vrai que les deux chaînes appartiennent au même groupe Altice…

A noter également: une curieuse amnésie frappe certains médias et politiques. À les écouter, l’histoire du conflit au Proche-Orient a commencé le 7 octobre 2023. La plupart des discussions sur l’un ou l’autre des aspects du conflit commencent inévitablement par «depuis l’attaque terroriste du Hamas le 7 octobre…».

Les médias français manquent-ils d’objectivité ?

Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO

ÉDITO

ÉDITO

Annulation du colloque « La Palestine et l’Europe »: une « grave atteinte aux libertés académiques »

10 novembre 2025

Un important colloque «La Palestine et l’Europe: poids du passé et dynamiques contemporaines» devait avoir lieu au Collège de France en collaboration avec le Carep. Sur pression du ministre de l’enseignement supérieur, répondant à des injonctions de la Licra, l’administrateur du Collège s’est vu dans l’obligation  de l’annuler. L’iReMMO dénonce une telle décision qui porte gravement atteinte aux libertés académiques les plus fondamentales.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Syria : the limits of external influence

Barah Mikaïl, 14 juin 2011
When the winds of change started blowing through the Middle East in December 2010, analysts were quick to predict that Syria would not succumb to the wave of popular protests. Syrian President Bashar al-Assad claimed that his country was exempt from the factors driving other protests. Yet contrary to most predictions, the Syrian population has voiced it desire for change. The potential for farreaching reform now exists. While the EU must stand ready to help, however, it is unlikely to play a primary role in ushering in political liberalisation. This is because of the structural nature of the Syrian regime, the country’s place in the regional context and ongoing difficulties in Libya. The EU reaction to Syria’s protests has been ad hoc and uncertain, and European governments could certainly do more. But Syria may show the limits to what kind of impact can be expected of European support for democratic reform.

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Lettre d’information de l’iReMMO