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Catherine Wihtol de Wenden

Juriste et politologue, directrice de recherche émérite au CNRS, rattachée au CERI (Science Po Paris). Elle a été consultante auprès de l’OCDE, du Conseil de l’Europe et de la Commission européenne, ainsi qu’ »expert externe » auprès du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. Elle est l’autrice de nombreux travaux et ouvrages, dont Atlas des migrations (Autrement, 2021, 6e édition), Migrations en Méditerranée (avec Camille Schmoll et Hélène Thiollet, CNRS, 2015) et Géopolitique des migrations (Eyrolles, 2019). Elle publie prochainement Des idées reçues sur l’immigration dans la collection Bibliothèque de l’iReMMO (L’Harmattan, 2022).

ÉDITO

ÉDITO

Annulation du colloque « La Palestine et l’Europe »: une « grave atteinte aux libertés académiques »

10 novembre 2025

Un important colloque «La Palestine et l’Europe: poids du passé et dynamiques contemporaines» devait avoir lieu au Collège de France en collaboration avec le Carep. Sur pression du ministre de l’enseignement supérieur, répondant à des injonctions de la Licra, l’administrateur du Collège s’est vu dans l’obligation  de l’annuler. L’iReMMO dénonce une telle décision qui porte gravement atteinte aux libertés académiques les plus fondamentales.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

De la Tunisie vers l’Egypte, la Jordanie ou la Syrie ? La perspective d’une « contagion » révèle le lien arabe mais ne saurait masquer les différences. (Entretien original)

Pierre Blanc, 29 janvier 2011
Un entretien avec Pierre Blanc. Rédacteur en chef de « Confluences Méditerranée » et enseignant-chercheur en géopolitique. « Contagion », voilà le mot clé répété de toutes parts à propos de la révolution tunisienne. Une idée qui révèle en partie notre vision d’un Monde Arabe qui serait uniforme. Interrogé « à chaud » par la Mission Agrobiosciences, le rédacteur en chef de la revue « Confluences Méditerranée », Pierre Blanc, relève effectivement la force du lien arabe, une grande connexion des populations par le biais médiatique et la force d’entraînement des réseaux sociaux ainsi qu’une similitude de difficultés. Mais l’idée univoque d’un effet de « contagion » de la révolution tunisienne à tout le Maghreb et au Proche Orient ne saurait masquer les différences d’un espace national à l’autre.

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Lettre d’information de l’iReMMO