Liban: Conflits et crises. Chroniques d’échec et perspectives de renaissance

Samedi 15 mars 2025 | 14h-19h
Bassem Snaije, enseignant à l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) et l’École supérieure des affaires (ESA) de Beyrouth en Économie et finance du monde arabe, Aurélie Daher, enseignante-chercheure MCF en science politique à l’Université Paris-Dauphine PSL.
Le Liban au défi de ses frontières

Mercredi 5 février 2025 à 19h
Entrée libre – Institut du monde arabe
1 rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris
Salle du Haut Conseil (niveau 9)
Joseph Maila, professeur de géopolitique et de relations internationales à l’Essec, Aurélie Daher, professeure à l’Université Paris-Dauphine (PSL), l’Institut pratique du journalisme (IPJ) et Sciences Po Paris, Michel Ghazal, fondateur du Centre européen de la négociation et président de la Fondation Ghazal pour l’éducation, la recherche et la paix au Liban.
Modération: Carole André-Dessornes, chercheuse-associée à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) et membre de l’iReMMO.
Le Liban dans la guerre

Jeudi 24 octobre 2024 | 14h30-18h30
Table ronde 1: Où en est le Hezbollah? avec Aurélie Daher, enseignante-chercheure à l’Université Paris-Dauphine, Karim-Emile Bitar, professeur de relations internationales. Modération: Pierre Blanc, enseignant-chercheur à Bordeaux sciences agro et Sciences Po Bordeaux (LAM).
Table ronde 2: Jeux des acteurs régionaux et internationaux, avec Bernard Hourcade, géographe, directeur de recherche émérite au CNRS, Sylvain Cypel, journaliste et membre d’Orient XXI. Modération: Bassem Snaije, enseignant à l’École supérieure des affaires de Beyrouth en Économie et finance du monde arabe.
Le Liban : une société sans Etat ? [Les Rendez-vous de l’actualité]

Jeudi 20 Décembre 2018
Institut du Monde arabe, Auditorium
1 rue des Fossés-Saint-Bernard, 75005 Paris
Rencontre avec Karim-Emile Bitar, professeur de relations internationales, consultant spécialiste du Moyen-Orient, Aurélie Daher, enseignante-chercheuse à Paris-Dauphine et à Sciences Po Paris, spécialiste du chiisme politique et du mouvement Hezbollah et Rima Tarabay, militante écologiste, consultante et femme politique libanaise.
Modération: Anthony Bellanger, journaliste et chroniqueur éditorialiste international aux Inrocks et à France Inter.
Iran/Arabie saoudite : une guerre froide

N°97 – Printemps-Été 2016
Dossier dirigé par Agnès Levallois et Clément Therme
Le 3 janvier 2016, la rupture des relations diplomatiques entre Téhéran et Riyad est le résultat d’une dégradation continue des relations irano-saoudiennes à la suite des soulèvements arabes de 2011. Si la dimension locale des conflits reste primordiale pour comprendre les causes de l’affaiblissement des Etats dans le monde arabe, force est de constater que l’implication de l’Iran et de l’Arabie Saoudite dans les conflits au Yémen, en Irak, en Syrie et au Liban est désormais un paramètre majeur. Il s’agit en premier lieu d’une instrumentalisation des tensions sectaires par ces Etats qu’elle soit voulue (comme dans le cas de Riyad) ou qu’elle soit subie (comme le montre la politique étrangère iranienne). Cependant, si la variable sectaire est désormais incontournable, elle n’est pas la seule grille de lecture nécessaire pour comprendre les turbulences régionales.
Stratégies islamistes

N° 76 Hiver 2010-2011
Dossier dirigé par Jean-Paul Chagnollaud
Alors même que de Tunis au Caire, nous assistons, en ce début d’année 2011, à des révoltes sociales et politiques de grande envergure, tout se passe comme si nos perceptions du monde arabe, de l’Iran et, dans une moindre mesure, de la Turquie étaient encore plus ou moins calées sur une grille de lecture remontant aux années 1970. L’islam politique s’appréhende encore largement comme un ensemble compact, dangereux, foncièrement antidémocratique et antioccidental. Nombre de médias et d’observateurs cherchent toujours à décrypter les bouleversements en cours dans cette région par des interrogations sur le « péril islamiste » alors même que les partis et les leaders de cette mouvance plurielle ont été absents de ces vastes manifestations aussi bien en Tunisie qu’en Egypte sans oublier le fait, capital, qu’en 2009 c’est tout une fraction du peuple iranien qui a manifesté contre le régime autoritaire des ayatollahs et la réélection truquée de Mahmoud Ahmadinejad.