Sahara occidental : tensions diplomatiques entre Alger et Paris
30 juillet 2024
Intervention d’Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO
La reconnaissance par la France de la marocanité du Sahara occidental et le soutien au plan d’autonomie proposé par le royaume illustre surtout la capacité des Marocains à imposer un nouveau tempo de la relation avec la France .
Normalisation Maroc/Israël : quel avenir pour le Sahara occidental ?
Lundi 12 avril 2021
En raison de la situation sanitaire actuelle, l’iReMMO organisera toutes ses rencontres « Controverses » et « Midis » en ligne, à tarif libre.
Rencontre avec Ali Lmrabet, journaliste marocain, ancien rédacteur en chef du périodique « Le Journal hebdomadaire ». Il a créé l’hebdomadaire « Demain » et a travaillé comme correspondant au Maghreb pour le quotidien espagnol « El Mundo ». Il s’est rendu dans les camps de réfugiés de Tindouf pour interviewer l’ancien secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz.
Modération : Dominique Vidal, journaliste et historien.
Israël-Maroc : un accord « contre-productif » pour la paix au Moyen-Orient – avec Jean-Paul Chagnollaud, président de l’iReMMO
Sahara occidental : comment sortir de l’impasse ?
Mercredi 28 juin 2017
Rencontre avec: Khadija Mohsen-Finan, politologue, enseignante et chercheure en relations internationales à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, Olfa Ouled, avocate des détenus sahraouis dans le procès de Gdeim Izik.
Modération: Rosa Moussaoui, journaliste à L’Humanité.
Maghreb : la politique étrangère de la France
9 mai 2017
Entretien avec Khadija Mohsen-Finan, politologue, enseignante et chercheure en relations internationales à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, collaboratrice du site d’information Orient XXI. Elle est auteure de l’ouvrage Le Maghreb dans les relations internationales (CNRS éditions, 2011).
Transition politique au Maroc
N° 31 Automne 1999
Dossier dirigé par Gema Martin Muñoz et Abderrahim Lamchichi
Considéré comme un authentique démocrate, le nouveau roi Mohamed VI représente pour les Marocains un immense espoir de changement et de modernisme. Il devra maîtriser l’armée et les islamistes, poursuivre et approfondir la politique d’ouverture démocratique entamée — bien tardivement, il est vrai — par son père et établir une réforme sociale négligée par celui-ci.