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Gaza: comment aider la population? Emmanuel Macron appelle à « œuvrer à un cessez-le-feu »

Avec cette conférence à L’Élysée convoquée par Macron, on voit le fossé qui existe aujourd’hui entre les pays arabes et les pays occidentaux dans la perception qu’on a du conflit à Gaza. Les responsable des pays arabes se rendent bien compte, poussés par leurs opinions publiques qui se mobilisent pour les Palestiniens, qu’il leur est difficile de venir ici sans obtenir des propos très forts sur le cessez-le-feu. Tous les opinions publiques de la région sont pou une trêve humanitaire, mais l’urgence reste le cessez-le-feu. Par exemple, au Liban même les personnes qui ont généralement une sympathie pour la France avaient des propos extrêmement durs sur les propos des occidentaux et de la France en particulier. Les dirigeants de ces pays se trouvent dans la situation de devoir tenir compte de leurs opinions publiques
Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO

ÉDITO

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Israël-Palestine: pour un retour au politique

Si la première phase du cessez-le-feu initié à Gaza depuis le 19 janvier 2025 a tenu, les perspectives de mise en oeuvre de la seconde – devant permettre la libération de tous les otages restants en échange de celle de prisonniers palestiniens et le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza – semblent beaucoup plus incertaines. Comme l’est encore bien davantage l’issue de cette guerre et, plus fondamentalement, celle du conflit israélo-palestinien. Deux chemins sont possibles. L’un conduisant vers une guerre sans fin, l’autre ouvrant vers des perspectives de paix.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Stratégie Europe 2020 : qu’en est-il de la Méditerranée ?

Iván Martin, 7 avril 2010
C’est le 7 février 2007, dans son discours à Toulon en pleine campagne électoral à la Présidence française où il avait évoqué pour la première fois son projet d’Union Méditerranéenne, que Nicolas Sarkozy a proclamé : « je veux être le Président d’une France qui fera comprendre à l’Europe que son avenir, son destin même, se trouve en Méditerranée ». À son tour, en septembre 2008, le ministre espagnol des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, réclamait l’établissement du siège du Secrétariat de l’Union pour la Méditerranée créé solennellement dans le Sommet de Paris du 13 juillet 2008 à Barcelone évoquant « sa vocation méditerranéenne et son rôle comme symbole des efforts de toute l’Europe et de la Méditerranée pour construire un futur commun ». Deux mois plus tard, l’Espagne à remporté un succès diplomatique indiscutable en obtenant effectivement la désignation de Barcelone comme siège de l’UpM lors de la Conférence Ministérielle de Marseille du 3-4 novembre 2008.

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Lettre d’information de l’iReMMO