Avec cette conférence à L’Élysée convoquée par Macron, on voit le fossé qui existe aujourd’hui entre les pays arabes et les pays occidentaux dans la perception qu’on a du conflit à Gaza. Les responsable des pays arabes se rendent bien compte, poussés par leurs opinions publiques qui se mobilisent pour les Palestiniens, qu’il leur est difficile de venir ici sans obtenir des propos très forts sur le cessez-le-feu. Tous les opinions publiques de la région sont pou une trêve humanitaire, mais l’urgence reste le cessez-le-feu. Par exemple, au Liban même les personnes qui ont généralement une sympathie pour la France avaient des propos extrêmement durs sur les propos des occidentaux et de la France en particulier. Les dirigeants de ces pays se trouvent dans la situation de devoir tenir compte de leurs opinions publiques
Agnès Levallois, vice-présidente de l’iReMMO