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Israël : Naftali Bennett peut-il modifier l’équilibre des relations internationales ? -par Jean-Paul Chagnollaud, président de l’iReMMO

Le nouveau Premier ministre Naftali Bennett, chef de file de l’extrême-droite religieuse proche des colons, n’est fort que de six députés ; mais c’est lui que la coalition hétéroclite de huit partis a choisi pour diriger Israël pendant deux ans avant de céder la place au centriste Yaïr Lapid, lequel occupe en attendant le poste de ministre des Affaires étrangères.

Avec un chef de gouvernement qui défend ledroit divin d’Israël à dominer l’ensemble des terres du Jourdain à la Méditerranée, comment peuvent s’en trouver modifier les relations entre Israël et ses voisins, ou Israël et les Etats-Unis ?

Entretien avec Jean-Paul Chagnollaud, président de l’IREMMO.

 

ÉDITO

ÉDITO

Annulation du colloque « La Palestine et l’Europe »: une « grave atteinte aux libertés académiques »

10 novembre 2025

Un important colloque «La Palestine et l’Europe: poids du passé et dynamiques contemporaines» devait avoir lieu au Collège de France en collaboration avec le Carep. Sur pression du ministre de l’enseignement supérieur, répondant à des injonctions de la Licra, l’administrateur du Collège s’est vu dans l’obligation  de l’annuler. L’iReMMO dénonce une telle décision qui porte gravement atteinte aux libertés académiques les plus fondamentales.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Le choc des élections en Grèce

Christophe Chiclet, 17 août 2012
Suite à la grave crise financière, puis économique et sociale, la Grèce vient de plonger dans une crise politique majeure. Le bipartisme qui réglait la vie politique grecque depuis l’indépendance de 1832 (Populistes-libéraux ; Royalistes-Vénizélistes ; Monarcho facistes-communistes ; Conservateurs-socialistes) a volé en éclat lors des législatives anticipées des 6 mai et 17 juin 2012. Le paysage politique a été totalement chamboulé. Les socialistes du PASOK ont pris une déculotté historique alors qu’ils gouvernaient le pays quasiment sans interruption depuis 1981. Les partis traditionnels qui soutenaient les plans d’austérité imposés par la « Troïka » (UE, Banque mondiale, FMI) ont été lourdement sanctionnés. Le PASOK est arrivé en troisième position le 6 mai avec 13,18% des voix, perdant 30,7% par rapport aux législatives de 2009, perdant donc 109 députés, n’en gardant que 41, revenant au niveau électoral qu’il avait aux élections d’octobre 1974, trois mois après la chute de la dictature des colonels.

 

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Lettre d’information de l’iReMMO