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Israël : Naftali Bennett peut-il modifier l’équilibre des relations internationales ? -par Jean-Paul Chagnollaud, président de l’iReMMO

Le nouveau Premier ministre Naftali Bennett, chef de file de l’extrême-droite religieuse proche des colons, n’est fort que de six députés ; mais c’est lui que la coalition hétéroclite de huit partis a choisi pour diriger Israël pendant deux ans avant de céder la place au centriste Yaïr Lapid, lequel occupe en attendant le poste de ministre des Affaires étrangères.

Avec un chef de gouvernement qui défend ledroit divin d’Israël à dominer l’ensemble des terres du Jourdain à la Méditerranée, comment peuvent s’en trouver modifier les relations entre Israël et ses voisins, ou Israël et les Etats-Unis ?

Entretien avec Jean-Paul Chagnollaud, président de l’IREMMO.

 

ÉDITO

ÉDITO

Israël-Palestine: pour un retour au politique

Si la première phase du cessez-le-feu initié à Gaza depuis le 19 janvier 2025 a tenu, les perspectives de mise en oeuvre de la seconde – devant permettre la libération de tous les otages restants en échange de celle de prisonniers palestiniens et le retrait total de l’armée israélienne de la bande de Gaza – semblent beaucoup plus incertaines. Comme l’est encore bien davantage l’issue de cette guerre et, plus fondamentalement, celle du conflit israélo-palestinien. Deux chemins sont possibles. L’un conduisant vers une guerre sans fin, l’autre ouvrant vers des perspectives de paix.

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LES ANALYSES DE CONFLUENCES

LES ANALYSES DE CONFLUENCES

Que dire de l’Iran ?

IReMMO, 24 mai 2012
Le premier tour des élections législatives du 2 mars de cette année a produit une certaine surprise. Certes, elles n’ont opposé que des groupes religieux identifiables par les seuls experts et de tendance conservatrice. Les réformateurs, en effet, avaient recommandé de boycotter ces élections et il semble que leurs consignes aient été respectées dans l’ensemble. La participation quant à elle, de quoi surprendre puisqu’elle aurait été de 65 % du corps électoral. Là, les Iraniens avertis estiment que ce taux officiel est exagéré compte tenu de la faiblesse de l’affluence constatée dans les bureaux de vote. Toutefois, ces mêmes observateurs estiment que le taux réel pourrait avoir avoisiné les 50% ce qui n’est pas négligeable.

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Lettre d’information de l’iReMMO