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Les relations intermaghrébines

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Les relations intermaghrébines

Observatoire du Maghreb : Maroc, Algérie, Tunisie, Libye dans le contexte du « printemps arabe »

Étude trimestrielle n° 4 – Janvier 2014

Cette étude porte sur les vicissitudes de la construction maghrébine : pour les relations intermaghrébines ne parviennent-elles pas à trouver leur point d’équilibre? Pourquoi l’Union du Maghreb arabe n’arrive-t-elle pas jusqu’à présent à réaliser les objectifs qui lui sont assignés ? Qu’est-ce qui fait que le Maghreb figure parmi les régions les moins intégrées économiquement à l’échelle mondiale ? Vers quel modèle géopolitique évolue le Maghreb ? La présente étude examinera les paramètres de l’équation maghrébine à partir de trois éléments : l’état des lieux des relations intermaghrébines ; les facteurs de blocage du processus d’intégration au Maghreb ; et les scénarios d’évolutions des relations intermaghrébines.

Auteur : Rachid El Houdaigui, professeur à l’université Abdelmalek Essaadi (faculté de droit) de Tanger et au Collège royal des hautes études militaires (Kenitra) ; il est également président de l’Association marocaine de droit international et de relations internationales, et responsable de l’Observatoire d’études méditerranéennes à l’université Abdelmalek Essaadi.

Table des matières

État des lieux des relations intermaghrébines

Sur le plan politique

 Sur le plan économique

Facteurs explicatifs du blocage du processus d’intégration au Maghreb

La rivalité algéro-marocaine

L’absence de convergence économique

Limites fonctionnelles de l’UMA

Scénarios d’évolution des relations intermaghrébines

Conclusion

CONFLUENCES MÉDITERRANÉE

CONFLUENCES MÉDITERRANÉE

CONTRIBUTIONS

CONTRIBUTIONS

Le conflit syrien: une tragédie humaine et juridique

Depuis le début de la révolution syrienne en mars 2011, le conflit n’a cessé de se transformer en un engrenage de violence, marqué par des attaques répétées contre la population civile. Alors que le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme estimait en 2022 que 300000 civils avaient péri, l’Observatoire syrien des droits de l’homme porte ce bilan à plus de 500000. Au-delà des chiffres, le conflit syrien a généré des millions de déplacés, et poussé autant de Syriens à s’exiler. La question du droit des victimes reste aujourd’hui un enjeu crucial pour une population qui réclame justice et reconnaissance de ses souffrances.

De Mohamed-Nour Hayed

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Lettre d’information de l’iReMMO