Au cœur d’une prison marocaine
Lundi 24 janvier 2022 – 12h30-14h
En raison du contexte sanitaire actuel, cette rencontre se déroulera intégralement en ligne sur Zoom.
Hicham Mansouri, journaliste marocain réfugié en France. Il est, en 2011, l’un des cofondateurs de l’Association marocaine pour le journalisme d’investigation (AMJI). Il est membre du comité de rédaction d’Orient XXI.
Modération : Sarra Grira, journaliste à Orient XXI.
بروكسي يقدم “جمهورية صاحب الجلالة” ويؤكد أن بعض النخب الفرنسية ملكية أكثر من الملك, rencontre avec Omar Brouksy sur Anwalpress
France-Maroc : réseaux, clientélisme et censure
Mercredi 20 décembre 2018
Rencontre avec : Omar Brouksy, universitaire et journaliste, enseignant à l’université de Settat.
Modération : Khadija Mohsen-Finan, membre du comité de rédaction d’Orient XXI, universitaire à Paris 1.
Le « Hirak », retour sur un an de mouvement social dans le Rif marocain : essoufflement ou contagion ?
Mardi 3 octobre 2017
Rencontre avec Pierre Vermeren, historien, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste du Maghreb et des mondes arabo-berbères et Ouadia El Hankouri, docteur en langues et civilisations étrangères, enseignant vacataire à l’université de Lille 2, membre de la commission administrative de l’Association marocaine des Droits humains.
Modération : Roland Biache, président du Réseau Euromed France et délégué général de Solidarité laïque.
Le Maroc : changements et faux-semblants
N° 78 Été 2011
Dossier dirigé par Karine Bennafla
Programmé il y a un an, ce dossier de Confluences Méditerranée consacré au Maroc paraît, plus de 10 ans après le numéro spécial précédent*, à un moment particulier de l’actualité sociale et politique du royaume. Celle-ci est marquée, depuis février 2011, par une politisation et une coordination, inédite à l’échelle nationale, des expressions publiques de protestation, à l’issue de la vague contestataire partie de Tunisie puis d’Egypte durant l’hiver 2010-2011. Avec quelques semaines de décalage, le pouvoir central marocain a, à son tour, été affecté par le vent de révolte et, sans renoncer à l’usage de la force répressive contre les manifestants, il a vite réagi par une série de mesures destinées à apaiser la gronde