Les Frères musulmans à l’épreuve du pouvoir [DANS LES REVUES]

Mercredi 10 novembre 2021

Rencontre avec Camille Abescat, doctorante en science politique à Sciences Po Paris (CERI). Elle est également associée à l’Institut français du Proche-Orient (Ifpo), Dominique Avon, professeur d’Histoire à l’Université du Maine (Le Mans), directeur d’études à l’EPHE, directeur de l’IISMM et membre du Groupe de sociologie des religions et de la laïcité du CNRS, Anne-Clémentine Larroque, historienne spécialiste de l’islamisme et chargée de cours à Sciences Po, elle est l’autrice de plusieurs ouvrages sur le sujet, parmi lesquels L’islamisme au pouvoir. Tunisie, Égypte et Maroc (PUF, 2018) et Le trou identitaire. Sur la mémoire refoulée des mercenaires de l’Islam (PUF, 2021).

Modération : Anne-Bénédicte Hoffner, directrice adjointe de la rédaction de La Croix.

Régression démocratique

Pictogramme éditorial

Face au déferlement des ignorances et des peurs, et au nom des valeurs de la République, nous réaffirmons notre attachement à la laïcité telle qu’elle est dans ses fondamentaux : liberté de conscience, liberté de culte et neutralité de l’État. Nous rejetons les injonctions de ceux qui réduisent les principes de notre République au carcan de leur idéologie. Loin de les renforcer, ils les défigurent et mettent en péril la liberté d’expression. Par les membres de l’Institut de Recherche et d’Études Méditerranée Moyen-Orient.

Du despotisme : penser la révolution et son lendemain

Mercredi 11 mai 2016 – Autour des livres/Controverse
Rencontre avec Salam Kawakibi, directeur adjoint de l’Initiative Arabe de Réforme, un groupe de centres d’analyse principalement issus du monde arabe. Il a préfacé l’ouvrage de son arrière grand-père ‘Abd al-Rahman Kawakibi, des textes parus en 1902 et qui ouvraient la voie à la réforme démocratique. Ils étaient jusqu’ici inédits en français, Farouk Maram Bey, directeur de la collection « Sindbad » chez Actes Sud.
Modération : Hala Kodmani, journaliste franco-syrienne, fondatrice de l’association Souria Houria (Syrie Liberté), et traductrice de l’ouvrage.